Dans les phases éliminatoires, il arrive que deux d'entre nous faisons jeu égal. Le jury décide alors de nous qualifier toutes les deux pour la finale. Il faut alors stopper le combat. Facile à dire assis sur une chaise, mais dans l'arène, c'est une autre paire de sabot. Il va falloir qu'ils séparent 1.200 kg minimum de muscles qui se font face. Il ne fait pas bon laisser traîner des doigts, un bout de ventre ou une cuisse. C'est un boulot dangereux, physique, qui demande rapidité, force, anticipation et collaboration. Les têtes brûlées ne sont pas les bienvenues. Nous les admirons beaucoup pour le travail réalisé.
Et quant aux rares crétins qui les sifflent quand, par hasard, ils manquent d'attention, qu'ils descendent donc dans l'arène prendre leur place. On s'occupera d'eux ...
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